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Astuces, Tactiques et Stratégies

CQB : c’est quoi une pièce ?

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J’étais en train de réfléchir à de supers articles bien compliqués et bien techniques, quand je me suis dit “hey mais attend, il y a aussi des sujets supers basiques qui peuvent être tout aussi intéressant ! Et qui en plus sont pratiqués à chaque partie !

Allez hop, voyons ensemble comment aborder une pièce en CQB. C’est à dire comment percevoir l’environnement, ses dangers, et donc la façon de traiter l’espace en CQB.

La structure d’une pièce

Chaque pièce est différente, nous sommes d’accord. Mais elles ont quasiment toute la même structure de base :

  • un sol
  • un plafond
  • des murs
  • des ouvertures

N.B : Dans cet article, nous traiterons exclusivement de la position à tenir, et non de la position à prendre. Nous imaginons donc que les pièces sont vides de tout occupant et que nous choisissons d’y prendre position.

Attention : chaque pièce a bien évidemment ses spécificités : mobilier, machines, déchets, gravas, acoustique, etc. Ces éléments ne seront pas abordés ici.

La nature des ouvertures

Voici une liste non exhaustive des ouvertures les plus courantes que vous pouvez rencontrer :

  • encadrement de porte, porte, double porte, porte de garage, porte coulissante, ..
  • fenêtre simple, fenêtre à double battant, velux, ..
  • trappe d’accès
  • escalier droit, escalier en colimaçon
  • couloir
  • trou (de la taille d’une main ou de la taille d’un homme)

Les différentes catégories d’ouvertures :

  • les ouvertures ouvertes : un trou, une fenêtre ouverte, une porte ouverte, un escalier, ..
  • les ouvertures fermées : une fenêtre fermée, une porte fermée, une trappe fermée, ..
  • les ouvertures extérieures : qui donnent directement dehors (le plus souvent portes et fenêtres)
  • les ouvertures intérieures : qui relient les pièces entres elles (porte, couloir, escalier, ..)

Les dangers liés aux ouvertures sont de 2 types :

  • directs, avec le risque d’être touché,
  • indirects, avec le risque d’être repéré.

Et en tout logique :

  • Les ouvertures ouvertes présentent des risques directs et indirects,
  • Les ouvertures fermées vous protègent dans un premier temps de tous risques,
  • Si vous pénétrez un bâtiments inconnu alors les ouvertures ouvertes intérieures sont les plus dangereuses,
  • Si vous défendez un bâtiment reconnu alors les ouvertures ouvertes extérieures sont les plus dangereuses.

Vous voyez ? C’est assez simple en réalité. Il faut juste se le dire. Et cela vous permet alors de prendre les positions adéquats en fonction de l’environnement et de la situation.

Les ouvertures sont donc à considérer et traiter par automatisme. Il faut réagir comme si vous étiez en voiture :

  • Feux rouge : je ne passe pas et je m’arrête
  • Feux vert : je regarde à droite et à gauche et j’avance
  • Ligne blanche : je ne passe pas, je m’arrête, je regarde à droite et à gauche et j’avance
  • Cédez le passage : je ralentis, je regarde à droite et à gauche, si il n’y a rien j’avance et si il y a quelque chose je m’arrête.

Vous voyez l’idée ? Il ne faut pas se poser la question de comment je dois faire lorsqu’on est face à tel ou tel type d’ouverture. Il faut plutôt l’aborder de façon spécifique et automatique.

Quelques exemples :

  • Une porte fermée = ouverture fermée sur l’extérieur = Safe.
  • Une porte ouverte = ouverture ouverte sur l’extérieur = Danger ! Danger ! (Danger direct et indirect + possibilité de passage de l’ennemi)
  • Une fenêtre ouverte = ouverture ouverte sur extérieure = Danger ! (Danger direct et indirect)

Ne vous inquiétez pas, c’est comme la conduite. Au début il faut beaucoup réfléchir, à la fin ça vient tout seul 🙂 Pour se faire, il faut catégoriser les ouvertures et leur attribuer un certain niveau de risque (on verra le niveau de danger au paragraphe suivant).

Le danger : les ouvertures

C’est évident mais il faut bien le garder à l’esprit : le seul danger vient toujours des ouvertures ! Et dans un premier temps des ouvertures ouvertes qui vous exposent immédiatement aux coups et au regard de l’adversaire !!

N’oubliez pas non plus que les pièces sont des environnement à 3 dimensions. Il faut donc prendre systématiquement en compte qu’il y a un sol, des murs et un plafond. Et ne pas se focaliser que sur les murs (le réflexe de base). Les sols et plafonds peuvent eux aussi comporter des ouvertures (escaliers, trappes, trous..), et être sources de danger voir même d’accidents !

Les dangers indirects :

  • être repéré visuellement par l’ennemi à travers une ouverture
  • ne pas être en capacité de voir l’extérieur et les mouvements adverses par le manque d’ouvertures ! (c’est très important aussi)
  • ne pas avoir la possibilité d’avoir un ou plusieurs chemins de replis par le manque d’ouvertures !

Les dangers directs :

  • être touché par une bille
  • avoir des ouvertures trop grande qui permettent facilement le lancer de grenades
  • avoir trop d’ouvertures qui permettent un assaut combiné par plusieurs voies

L’erreur : la perception

L’erreur à ne surtout pas commettre, c’est de voir une pièce selon vos référentiels de la vie de tous les jours. C’est à dire de voir une cuisine comme une cuisine, un salon comme un salon, une chambre comme une chambre, les wc comme des wc. C’est une erreur de perception !

Vous ne devez plus voir une pièce par sa nature, car cela va vous renvoyer à sa fonction, et vous écarter de votre vision combat ! En ayant une réflexion par nature votre cerveau va partir sur des réflexes de la vie quotidienne :

  • Cuisine : c’est fait pour faire à manger. Il y a des ustensiles de cuisine. Les meubles hauts sont ouverts et il reste des assiettes. On dirait les assiettes de ma grand mère..
  • Salon : c’est fait pour se reposer. C’est marrant il y a encore le canapé. Putain ce qu’il est sale. J’hésite à me poser dessus tiens ..
  • Chambre : c’est fait pour dormir. Des gens dormait ici ? Je me demande à quoi ça ressemblait avant ? Oh la barre, y a une culotte dans le coin !
  • Wc : c’est pour faire ses besoins. Vu l’état de la baraque même pas je vais voir. Ça doit être dégueulasse !

Si vous réagissez comme ça, c’est que vous faîtes une belle erreur de perception. Vous n’êtes pas en train de visiter une maison. Vous faîtes du combat dans un bâtiment. Ça n’a strictement rien à voir !

Structurer et hiérarchiser l’espace

Voici comment votre cerveau doit fonctionner (toujours en partant du constat que le bâtiment est reconnu est vide). Vous devez réfléchir en prenant en compte les espaces, la nature des ouvertures et le type de danger :

Cuisine :

  • 2 ouvertures ouvertes extérieures. Danger Danger !
  • 1 ouverture fermée extérieure. Safe.
  • 1 ouverture ouverte vers le salon. Safe.

Salon :

  • 3 ouvertures fermées extérieures. Safe.
  • 3 ouvertures ouvertes intérieures vers cuisine, chambre et WC. Safe.

Chambre :

  • 2 ouvertures fermées extérieures. Safe.
  • 1 ouverture ouverte vers le salon. Safe.

WC :

  • 1 ouverture fermée intérieure. Safe.

Etat des lieux :

  1. La cuisine représente des dangers directs très importants. Je dois faire très attention !
  2. Le salon a des ouvertures fermées sur l’extérieur qui peuvent servir pour un assaut simultané comme pour un chemin de repli. Je dois pouvoir voir ce qu’il se passe dehors au niveau du salon si nécessaire.
  3. Les autres pièces permettent de se retrancher et communiquer facilement entre elles.

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Astuces, Tactiques et Stratégies

Mener un interrogatoire

Il est du devoir des organisateurs de veiller à l’intégrité physique et morale des joueurs. Mettez en place des règles régissant l’utilisation de moyens physique et psychologique pour soutirer des informations.

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Avertissements !

La mise en place des interrogatoires au cours d’une partie de Milsim / RP (Rôle Play) doit être signalé à tous les joueurs avant le début de la partie et s’assurer que tous les joueurs ont bien compris ce que ça implique en termes de gameplay, aussi bien pour eux (leur personnage) que pour les personnels qui effectueront les interrogatoires. (Émargement à faire signer par exemple).

Un interrogatoire en version « light », « airsoft », ne sera évidemment pas aussi poussé qu’un vrai, impliquant des agents expérimentés, fins psychologues, et surtout dont c’est leurs métiers de vous faire cracher votre pastille ; à savoir des renseignements susceptibles de contribuer au succès d’une opération sur le terrain … ou de vous compromettre en balançant vos ptits copains pour déjouer une opération à vous.

Sachez cependant que personne n’est parfait, personne ne réagit de la même façon et que par conséquent :

  • Une personne peut être plus sensible rien qu’au fait d’être désorienté, stresser, fatigué, « malmené » pour le RP, que cela peut avoir des répercussions sur son retour à la normal voir vie civile. Psychologiquement ça peut être dur pour certaine personne.
  • Une personne souffrant d’asthme peut avoir une crise et que si personne n’est compétent à ses cotés voir de lucide pour voir que la personne ne joue pas la comédie peut lui être dans le pire des cas fatal !
  • Les épileptiques peuvent aussi faire des crises impressionnantes pour les non habitués
  • Les personnes prenant leurs rôles « trop à cœur » peuvent se montrer violentes voir sadiques ; il faut impérativement les écarter et les raisonner ! Ce n’est un jeu pas un théâtre d’opérations. Pour la petite histoire lors d’une opé d’airsoft j’ai constaté qu’un groupe qui avait fait un prisonnier commençait de suite à “aller trop loin” en versant du Coca et autres trucs sympas sur la tête du prisonnier, en essayant de l’humilier, de l’insulter, en essayant de prendre des photos douteuses. Il a fallu évidemment intervenir et sanctionner ces comportements. Les cons sont partout – alors méfiance !

« Malmener »

Il est du devoir des organisateurs de veiller à l’intégrité physique et morale des joueurs. Mettez en place des règles régissant l’utilisation de moyens physique et psychologique pour soutirer des informations.

Etablir un seuil de tolérance au-delà duquel on divulgue l’information.

Prévenir la personne interrogée que l’on va la « malmener » et lui demander si elle préfère arrêter là et donner les informations ou continuer à jouer. Mais à tout moment elle peut dire stop et on doit la respecter !

Psychologie

Il est important de bien comprendre que le but d’un interrogatoire de soutirer une information importante (un renseignement) à un personnel ennemi et que par conséquent il n’est de base pas enclin à vous la lâcher comme ça, même avec un s’il te plait. Ce qui veut donc dire qu’il faudra sortir du clicher cinématographique ou l’on frappe pour entendre la réponse. Il faudra très souvent passer un marché avec votre interlocuteur, essayer de calmer la tension pour aller sur le terrain du donnant donnant.

Pour commencer penser à l’isolement, au temps d’attente, à la fatigue de la journée, au repas qui tarde à arriver, bref pleins de petites choses qui vont fatiguer nerveusement votre ennemi et donc le mettre dans une situation ou il dépend de vous. Il sera donc plus à même à vous écouter. Une musique lancinante dans les oreilles pour le priver du son, une cagoule pour le priver de la vue, une position inconfortable pour le fatigué peut être un bon moyen de préparer le terrain psychologique.

Il est très important de le surveiller sans qu’il le sache ; pour vérifier son état mais aussi vérifier qu’il ne tente rien de compromettant pour la suite.

Renseignements

Lors de sa capture et pendant sa détention mettez tous les moyens en œuvre pour connaitre tout ce qui est possible sur lui, tout ! qui il est, son poste, son grade, sa fonction, ses contacts, sa mission, son chef, tout ce que vous pouvez ; ça pourra être utile lors de l’interrogatoire.

  • Fouillez ses vêtements (poches, doublures, chaussures, chaussettes, écharpe, bonnet, etc.)
  • Fouillez ses équipements (fond de poches de portes magasins, doublure velcro, sac, etc.)
  • Recueillez et classez ses renseignements (astuces : faites ça même en cours de parties ça fera du travail en moins avec vos prisonniers)
  • Trouver son protocole radio et notez-le.
  • Mais surtout ne faites rien devant lui car en cas d’échange de prisonniers il pourra avertir des collègues des éléments trouvés et donc ils deviendront obsolètes. Le renseignement, c’est temporel.

Pour la suite nous verrons très prochainement la mise en place et les procédures à adopter.

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12- Emmener un mouton en passant

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12ème stratagème :

Emmener un mouton en passant

Principes :

Il faut savoir saisir toutes les occasions de s’enrichir : en gardant constamment ses sens en éveil, en étant prêt psychologiquement et en saisissant toute occasion qui vient à se présenter, quel que soit le lieu et le moment. Il faut savoir faire un bénéfice sans effort, tirer parti à bon escient de la négligence ou de l’incompétence de l’adversaire. On se souviendra que le mouton qui s’agenouille devant sa mère pour téter était dans la Chine ancienne le symbole de la piété filiale.

Tirer avantage du moindre défaut ; s’emparer du plus petit profit. Faire usage d’une erreur mineure de l’ennemi pour obtenir une victoire, même mineure. Dans un contexte militaire, le mouton représente en effet n’importe quelle faute inattendue de l’ennemi. De même que c’est le général en chef qui décide de “piller une maison en flammes”, c’est le plus souvent un général subordonné qui trouve le mouton et décide de “l’emmener de la main droite”. Il faut donc saisir toute chance de se renforcer et d’affaiblir l’ennemi, pour une victoire qui, comme certains coups aux échecs, peut décider de l’issue finale de la confrontation.

L’intérêt de ce stratagème n’est pas d’emmener spécifiquement un mouton, mais de développer une attitude d’ouverture permanente et globale à toute éventualité de bénéfice… y compris dans le cas où l’on y est pour rien.

Source historique :

Le Renmin Ribao s’insurgeait en 1984 contre les moutons “cueillis en passant”, jeunes cadres sans compétences ni envergure, promus à des postes élevés sans risque de faire de l’ombre à leur mentor.


Adaptation à l’airsoft :

Profiter de chaque opportunité

Loin des grandes stratégies élaborées et difficiles à mettre en oeuvre, ce concept valorise l’opportunité : attaquer ce qui est a portée, voler les informations sur lesquelles vous tombez, prenez une position défensive abandonnée, voler un véhicule ou un drapeau sans surveillance, bloquer la route à l’adversaire, etc.

Tirez partie de la négligence ou de l’incompétence de l’adversaire : si il parle, fait trop de bruit, se déplace à découvert, n’assure pas ses arrières ou allume sa lampe de nuit tant pis pour lui. Prenez ça comme une insulte à votre intelligence et renvoyez-le à son Respawn.

Le meilleur moyen de se renforcer régulièrement tout en affaiblissant l’adversaire est le renseignement ! Chaque information peut vous permettre de prendre le dessus à un moment donner, de prendre confiance, et d’appliquer une contrainte et votre force à ceux d’en face.

Chaque kill compte. Chaque bout de terrain compte. Chaque information compte . Chaque petit avantage compte.

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Le sacrifice : mode d’emploi

C’est typiquement le concept du Kamikaze Japonais : faire plus de dégâts à l’adversaire que vous n’allez en subir. Vous devez donc être certain que si vous vous apprêtez à vous faire éliminer, ce sera pour éliminer plusieurs adversaires.

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Nous avions abordé le pourquoi du sacrifice à l’airsoft lors d’un précédent article .. voici la suite.

Se sacrifier pour faire un maximum de dégâts

C’est typiquement le concept du Kamikaze Japonais : faire plus de dégâts à l’adversaire que vous n’allez en subir. Vous devez donc être certain que si vous vous apprêtez à vous faire éliminer, ce sera pour éliminer au moins 2 adversaires en face.  Dans l’idée c’est ça, même si je trouve absurde l’idée d’être certain de perdre pour toucher seulement 2 adversaires !

Alors comment créer un maximum de dégâts chez l’adversaire ? 

  • En se constituant prisonnier en milieu clos avec une grenade dégoupillée sous ses vêtements qu’on laissera tomber au sol lors d’une fouille entouré d’un bon nombre de joueurs peu vigilants ?
  • En défense fixe derrière des protections adéquats ou correctement embusqué face à un bon groupe adverse qui saura vous détruire en 3 phases mais en payant le prix ?
  • En pénétrant avec une grenade de 40 mm dans une pièce pleine d’adversaires retranchés  ?

Se sacrifier pour limiter les dégâts

C’est souvent ce qu’on voit dans les films 🙂 “Vas-y court Maurice, je te couvre ! Et dit à ma femme que je l’aime !!” C’est naze on est d’accord, mais à l’airsoft ça s’applique parfaitement.

La question que je me pose tourne plutôt autour du choix du sacrifié. Comment procéder ? Alors soit un joueur annonce son sacrifice, soit le chef donne son ordre. Voici quelques pistes pour vous aider à choisir :

  • le serre-file, autrement dit celui qui est placé au bout d’une colonne lors d’un déplacement de troupe. Tout joueur désigné serre-file sait alors que lors d’un affrontement il doit se sacrifier si nécessaire. Comme ça c’est automatique et donc plus efficace !
  • le joueur qui est à court de munition et dont la capacité offensive est limitée. Charge à lui de se terrer et de ralentir la progression adverse.
  • le joueur le moins en forme physiquement. Personne en surpoids, asthmatique, uni-jambiste, ou toute personne qui a vraiment de très grosses difficultés à cavaler laisse les copains déguerpir au galop et retient l’adversaire tranquillement. Attention : je ne critique pas ces personnes !

C’est aussi le principe du garde ou de la sentinelle. Protéger un groupement ou une infrastructure, et a minima donner l’alerte quitte à se prendre une bille afin de garantir autant que possible la protection de ce qu’il devait garder.

Se sacrifier pour faire diversion

L’idée est de détourner l’attention et le regard de l’adversaire des mouvements et actions que votre groupe est en train d’opérer. Pour vous donner quelques exemples, un de vos équipiers peut attirer ceux d’en face afin de :

  • détourner les déplacements adverses vers une embuscade, une zone isolée, un cul de sac, loin des objectifs prioritaires, etc.
  • favoriser un mouvement de troupe allié en attirant la concentration des forces adverses vers des éléments isolés plutôt que sur le gros des troupes qui est alors libre de circuler librement sur le terrain.
  • attirer les forces adverses sans but réel (des fois casser toute logique mènera l’adversaire sur de fausses pistes).

Se sacrifier pour le Rôle Play

Le Rôle Play à son importance pour l’aspect immersif et le fun d’une partie. Si la nécessité l’oblige sacrifiez-vous !

  • en tant que prisonnier (ça m’est déjà arrivé, c’est terriblement frustrant mais c’est le jeu !). On se laisse capturer pour les scénaristiques du jeu..
  • en tant que blessé : on laisse son rôle de commandant ou combattant de côté pour devenir un blessé (voir un futur mort).

Se sacrifier pour l’accomplissement de la mission

La réussite de la mission prime sur le reste. Après tout, on est là pour atteindre nos objectifs et remporter la partie ?

  • Si votre mission est de protéger un VIP ; alors vous devez être prêt à prendre une bille pour le protéger.
  • Si votre mission est de faire exploser une bombe ; vous devez empêcher quiconque de l’approcher, même si vous êtes contre 10 !
  • Si votre mission est de ramener un objet, un document, une information ; alors vous devez pouvoir vous sacrifier pour être certain que l’objet, le document ou l’information soit ramené à bon port !
  • Etc, etc.

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