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Savoir-faire individuels

Techniques de repérage sur le terrain

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Que vous soyez en mission d’infiltration, de renseignement, en patrouille en en position défensive, vous aurez besoin de savoir ou et comment regarder afin de repérer vos adversaires. Et il également important de pouvoir juger de la distance qui vous sépare de votre objectif de manière à communiquer cette information au reste de votre équipe et de régler votre tir en conséquence.

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Localiser un tireur isolé

Analyse rapide et instinctive :

Tout d’abord, premier réflexe et vous vous en doutez bien : postez-vous ! Ensuite fiez-vous à la trajectoire supposée de la bille pour identifier le secteur ou se trouve la position embusquée de votre adversaire. En général cela se fait instinctivement si la bille ricoche près de vous.

Une fois que vous avez une idée de où regarder, essayez de repérer ce qui attire naturellement le regard et surtout ce qui cloche dans le paysage :

  • Forme
  • Ombre
  • Silhouette
  • Texture
  • Mouvement

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Si cette première analyse ne donne rien, c’est que soit le tireur adverse est correctement camouflé et embusqué, soit il s’est déjà retiré. Dans le doute et en fonction de la situation il va falloir rester à couvert et s’assurer plus précisément que la voie est libre avant de pouvoir relever la tête à nouveau sans courir de risque.

Recherche et balayage méthodique :

Divisez le paysage en différentes zones de recherche : le premier plan, à moyenne distance et à plus longue distance. Parcourez alors chaque zone horizontalement. En commençant par le premier plan, utilisant des mouvements de lacets.

Si vous devez tenir la position assez longtemps, déplacez la tête en même temps que votre regard plutôt que de n’utiliser que vos yeux. Cela permet de réduire un peu la fatigue et améliore votre concentration. Mais faîtes bien attention à ne pas dévoiler votre position par des mouvements soudains et trop vifs.

 Balayage terrain

Apprécier  une distance

Il est parfois difficile d’évaluer correctement une distance sans se tromper dans le sens ou il existe des effets d’optiques naturels qui troublent votre capacité d’analyse car les perspectives sont faussées.

Ainsi, un objet peut sembler plus proche que ce que vous pensez, notamment  dans certaines  :

  • si la lumière est très vive ou si le soleil brille derrière vous.
  • si il est plus grand en taille que d’autres éléments qui l’entourent 
  • si il est placé en hauteur par apport à vous.

A l’inverse, un objet peut sembler plus éloigné de ce qu’il est en réalité dans les conditions suivantes :

  • si a lumière est faible ou si le soleil en directement en face de l’observateur.
  • si l’objet est plus petit que ceux qui l’entourent.
  • si il se trouve en contre bas par apport à votre position.

Méthodes pour juger d’une distance

L’unité de mesure :

  • Pour pouvoir utiliser cette méthode tout le terrain entre vous et votre cible doit être visible.
  • N’importe quelle unité de mesure qui vous est familière peut être utilisée. Par exemple un terrain de football qui mesure approximativement 100 mètres de long.
  • Evaluez combien de fois vous pouvez reporter cette mesure entre votre position votre et objectif (la moitié, la totalité, le double, etc.)
  • Cette méthode n’est plus fiable pour des distances de plus de 400 mètres.

L’apparence :

  • Cette méthode consiste à comparer l’objectif avec son environnement.
  • Vous devez avoir une idée de ce à quoi ressemblent les objets à différentes distance.
  • Vous pouvez vous faire une bonne indication de la distance par apport aux détails visibles de votre objectif.

Juger au détails

Exemple :

  1. A 100 mètres : tous les détails sont tout à fait clairs.
  2. A 200 mètres : les détails sont clairs, la couleur de la peau et des équipements sont identifiables mais pas à 100%.
  3. A 300 mètres : on distingue la silhouette et la couleur de la peau mais tous les autres détails sont troubles.

Si votre adversaire est rusé et qu’il adopte des bonnes méthodes de camouflage, ces techniques d’analyse et de repérage vous seront très utiles pour vous éviter le pire à vous et à votre groupe.

Soyez méthodique et aux aguets ! 

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3 Comments

3 Comments

  1. Llunatik

    10/04/2013 at 09:35

    Pour le repérage, avoir une bonne vue c’est important aussi. Je viens d’admettre que sans mes lunettes je ne voyais rien à plus de 25m… et je me suis fais faire une paire de lunettes balistiques à ma vue! Ca change la vie 🙂 Et c’est surtout bien plus confortable que les inserts sous les lunettes de protections (surtout en terme de buée).
    Compte tenu l’investissement global, j’ai pris des verres photochromiques, qui passent d’une protection catégorie 2 à 4 selon la lumière, pas d’éblouissements = meilleure visibilité, si avec ça je ne vois pas les tangos en face, je n’ai plus d’excuses!!

    • Hugues

      10/04/2013 at 11:36

      C’est vrai que c’est un point essentiel sur lequel on est complètement passé à côté. En tout cas je l’idée des lunettes balistiques à sa propre vue je trouve ça génial. Pour avoir porté des lunettes en airsoft ou en escrime, je sais pertinemment que parfois c’est pénible. Je me doute que l’investissement doit coûter un peu cher, et varier en fonction des mutuelles (encore que ..). On essayera de développer ça un jour pour ceux que ça intéresse !

      Du reste, si les Tangos sont bien camouflés …. ^^

  2. Jetso

    23/06/2014 at 18:33

    Limite sans lunettes moi je pourrais rater un éléphant à 100 mètres ^^ peut-être pas à ce point, mais vous comprenez ce que je veux dire…

    Personnellement, combo lunettes de vue standard et un masque Phantom Save Face ! Ils sont confortables et ne gênent pas du tout avec des lunettes de vue, peut-importe lesquelles. Et en plus, la visière est anti-buée 😀 ! Pour les lunettes de vue, il reste les lingettes anti-buée.

    Bref, tout pour voir en HD, ou presque!

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Sachez vous arrêter

Le déplacement est l’action d’aller d’un point A à un point B. C’est simple. Basique ! Et cette phase de déplacement est risquée puisque vous êtes le plus souvent exposé à un moment ou un autre.

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Se déplacer et s’arrêter

Au combat, soit vous êtes en mouvement, soit vous êtes à l’arrêt.

Le déplacement est l’action d’aller d’un point A à un point B. C’est simple. Basique ! Et cette phase de déplacement est risquée puisque vous êtes le plus souvent exposé à un moment ou un autre.

Alors que lorsque je suis au point A, je suis posté et protéger des coups.

Et quand j’arrive au point B j’ai anticipé mon action et je m’arrête là où je suis également protégé.

Donc savoir s’arrêter c’est savoir se protéger ; ce que nous appelons se poster. Et en aucun cas cela signifie s’arrêter comme un fruit tel un lapin qui traverserait une route de campagne à attendre de se faire éclater les gencives par le pare-choc de la Xantia.

Se poster doit devenir un réflexe

Terminer un déplacement par une position défensive ou de protection n’est pas un acte très naturel. Raison pour laquelle beaucoup de joueurs se mettent bêtement en danger et s’exposent en continu du déplacement à l’arrêt.

Se poster, ou se mettre à couvert, et pourtant l’un des premiers enseignements du combat. Utiliser sa réplique c’est bien. Éviter de passer sa journée à faire des allers-retours au respawn ce n’est pas mal non plus.. non ?

Se poster doit devenir un acte réflexe. Au début forcément on anticipe l’endroit exact où on va s’arrêter et la position que l’on va prendre. Puis petit à petit ça va devenir mécanique. Et vous finirez par naturellement adopter une position qui vous protégera à la fin de chaque déplacement. Ce n’est pas merveilleux tout ça ?

Anticiper

Comme je vous le disais au départ il faut anticiper. Pour ça posez-vous les bonnes questions AVANT de vous déplacer :
 
  1. Où je vais ? Ou quel est mon point à atteindre ? A partir de là, quand vous savez déjà où vous allez atterrir vous regardez où exactement vous allez vous arrêter.
  2. D’où vient le danger immédiat ? De façon à vous mettre en garde face à la direction la plus dangereuse.
  3. Quels sont les éléments qui me permettent de me protéger le plus efficacement ? Et quelle position prendre ? Voir paragraphe suivant.

La protection

Les protections sont de plusieurs types. A vous de choisir celles qui sont le plus pratique et qui vous offrent la meilleure couverture.

Les bâtiments et infrastructures : maisons, murs, silos, granges. Le bâti offre une bonne protection vis-à-vis de l’extérieur lorsque vous êtes vous-même à l’intérieur. Faîtes attention à ce faux ami. Lorsque vous êtes à l’extérieur contre un mur ou à un angle vous êtes souvent extrêmement exposé !

Le mobilier urbain et véhicules : bancs, lampadaires, poubelle, voitures, etc. La liste est variée. La protection est souvent limitée ! Faîtes attention ! D’autant plus que l’on s’attend naturellement à ce que vous vous cachiez derrière ce type d’éléments.

Les éléments naturels : arbres, rochers, trous, motte de terre, .. Ils sont souvent en airsoft sous-exploités et pourtant..

La position

C’est naturel et évident et pourtant … certains n’ont pas le réflexe … du coup je récapitule :

  • Debout vous offrez plus de surface de touche.
  • En position intermédiaire (assis, en tailleur, à genoux, etc) vous réduisez la surface de touche de près de moitié.
  • A plat ventre vous avez nue surface de touche extrêmement réduite.

Evidemment, chaque position apporte un certain nombre de variations en matière de visibilité, de réactivité à se déplacer ou à tirer, de confort (dans la durée ça compte), etc.

Les erreurs

Votre réplique n’est pas une défense. Les mecs qui sont out non plus.

Les palettes ne sont pas vos amies. Les buissons non plus. A défaut de mieux privilégiez de vous coller au sol.

Beaucoup de joueurs visiblement pensent qu’il n’est pas nécessaire de se poster. Qu’au pire ils sont super bons, visent juste et tirent super loin..

Que dire..? Sans rire ? .. vous rigolez mais on voit ça à chaque partie.

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Hit’n’Run

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Vous êtes-vous déjà posé la question de savoir si il n’y avait pas possibilité d’engager l’adversaire autrement ? Généralement, un airsofteur, c’est comme un bon chasseur : il voit quelque chose – il tire ! Vous rigolez sans doute mais c’est un peu ça : souvent on voit un bonhomme en face – et on allume jusqu’à ce qu’il soit out (ou qu’on soit nous même out, ou bien qu’il disparaisse de notre champ de vision). Vrai ?

Avant d’aller plus loin dans le sujet je me permets un petit rappel : un tir en mouvement doit toujours se faire en respectant les règles de sécurité ! Vous devez donc être sûr de votre objectif (et non tirer à l’aveuglette), avoir les yeux alignés sur les organes de visée et sur l’objectif, et tenir correctement votre réplique ! Sinon on appel ça faire de la merde ; ou un tir à la libanaise ! Maintenant que c’est dit, on continu !

Hit’n’Run

Le Hit’n’Run (Hit and Run) ou en français : je tire et je bouge. Facile à comprendre puisque cela consiste à tirer une bille, ou une doublette, et à se déplacer immédiatement.

 

Le Hit’n’Run est une technique offensive d’harcèlement qui vous offre de multiples bénéfices :

  • occasionner des pertes à l’adversaire (tant que vous visez juste).
  • ralentir l’adversaire puisque lorsque les billes vont lui friser les moustaches il devrait se mettre rapidement à couvert et chercher à vous localiser.
  • instaurer une bonne dose d’appréhension chez l’adversaire puisqu’il sait qu’il est repéré et pris pour cible, alors que lui ne sait pas exactement où vous êtes, ni combien vous êtes.
  • désavantager l’adversaire qui restera en position fixe, de peur de sortir le bout de son nez. Ce sera l’occasion de combiner vos efforts avec vos équipiers pour le contourner.
  • vous avantager si vous êtes assez rapide et mobile pour vous offrir une nouvelle position de tir (tant que vous anticipez vos bonds et chemins de replis).
  • perturber l’adversaire qui devra communiquer en permanence sur sa situation et réévaluer en continu ses plans (juste à cause de vous !).

 

L’idée n’est donc pas de forcer le contact jusqu’à ce que l’adversaire soit touché (ou vous ; évidemment ça marche dans les 2 sens hein). Mais de “tenter sa chance” et lâcher prise que la cible soit touchée, ou non.

L’objectif est de ralentir voir fixer l’adversaire pendant que vous restez en mouvement continu.

 

Shoot’n’back

Shoot’n’back est une technique défensive (c’est la même chose que le Hit’n’Run mais quand vous vous repliez avec un adversaire qui vous colle aux fesses).

Cette technique peut être utilisée de 2 façons différentes :

  • en exfiltration : pour vous permettre de fuir un adversaire qui vous prend au contact voir en chasse. Vous cherchez à vous décrocher de lui en le fixant pendant que vous prenez vos distances. Procédez par de petits bonds de 5 mètres, et visez au plus juste.  Variez vos déplacements en zig zag pour que l’adversaire ne puisse pas anticiper votre prochain bond trop facilement. Point particulier : ne cherchez pas à vous appliquer à la visée. Vous allez avoir le palpitant au maximum donc privilégiez le tir réflexe :
  • en diversion : pour attirer l’adversaire vers vous (au profit de l’action de votre équipe par exemple). Le but est de jouer l’appât et de ralentir leur progression en vu de les amener dans une direction ou dans un endroit spécifique.

 

Une technique avantageuse

Cette technique est très simple à mettre en oeuvre puisqu’elle nécessite 2 compétences clés :

  • savoir tirer vite et juste
  • savoir courir vite et gérer l’effort

Le gros avantage de ces techniques c’est qu’un seul bonhomme peut à lui seul perturber un groupe entier si il a les faveurs du terrain. Autant vous dire qu’à découvert en plein champ ça va être plus compliqué 😉

Notez  bien à quel point la mobilité est essentielle. Privilégiez des bonds rapides, des bons courts, soyez dynamique et percutant, anticiper les protections que vous offre votre environnement : murs, tonneaux, trous, arbres, etc.

 

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Les distances d’engagement

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En partie, les engagements sont déterminés par les règles en vigueur. Celles-ci sont variables selon la nature des terrains et des organisations. Les distances d’engagement se font du corps à corps à environ 50 mètres. Certaines répliques vont au delà mais pour faciliter les explications parleront d’une distance générale maximum de 50 mètres.

 

Avant de commencer je me permets un petit rappel. Sait-on jamais ..

Tirer sans identifier sa cible est strictement interdit !

Les 4 règles de sécurité

 


Au corps à corps

La règle établie dès le début de partie va définir si il y a engagement ou pas. Cette distance minimale de sécurité peut varier de 2 à 10 mètres le plus souvent.

Au corps à corps, et dans le cadre ou aucune distance minimale d’engagement n’est imposée, 3 solutions vont alors s’offrir à vous :

  • le “Pan T’es Out” (ou la tape sur l’épaule)
  • le coup couteau
  • la doublette dans la poitrine.

Le “Pan T’es Out”

L’idée est de limitée les risques mais de poursuivre la confrontation. Le premier qui surprend l’autre trop prêt crie le “Pan T’es Out”. L’avantage c’est qu’on est certain d’éviter de faire mal à l’autre. L’inconvénient est que l’autre est souvent persuadé d’avoir crié “Pan T’es Out” avant vous 🙂

Je ne suis pas fan de cette méthode. Elle casse le jeux et pousse souvent au désaccord. Si nécessaire je préconise plutôt la tape sur l’épaule, d’autant plus si vous êtes souhaitez nettoyer discrètement les environs.

Le coup de couteau

On reste dans une philosophie MilSim. C’est sans appel et indiscutable ! sauf si le type d’en face vous sort un “Pan T’es Out” évidemment ….

La doublette dans la poitrine

Ma préférée soit-dit en passant. Mon matériel me permet d’engager au contact. 99% des joueurs sont équipés d’un gilet ou à minima d’une couche de vêtement suffisant, donc selon moi la doublette à la poitrine n’est pas une problématique en soit. Evidemment, si vous jouez avec une saloperie à 2 joules, vous êtes un danger ambulant mais ça vous vous en doutez !

Alors pourquoi la doublette ? Parce que dans le feu de l’action tout le monde à le palpitant qui monte en flèche. Vous êtes en mode effet tunnel, concentré sur votre propre action. Votre cerveau fait un focus sur ce que vous faîtes, et non sur ce que vous subissez. Donc vous risquez de continuer dans votre élan et une bille ne vous stoppera peut-être pas. Alors que la doublette vous casse dans votre élan. Une seule bille pas systématiquement. Testé et approuvé !

Et pourquoi à la poitrine ? Parce que je suis un bourrin mais pas un salopard. C’est la partie de votre corps la plus protégée, et la moins sensible. Les cuisses, les bras, les mains sont souvent moins protégés que votre buste. En outre, votre poitrine est la zone la plus large, la plus facile à acquérir en visé et donc à shooter. C’est comme pour la doublette : la visée à la poitrine est un réflexe : on allume là où c’est le plus direct, le plus facile, le plus sûr.

Quoi qu’il en soit, il est à mon avis totalement proscris d’engager un adversaire à la tête, et ce quelque soit la distance et même si ce dernier porte une protection faciale ou un casque. Il est difficile dans l’action d’analyser si l’adversaire est correctement équipé ou pas, et on n’est jamais à l’abri d’un accident.


A 25 mètres

A 25 mètres, par un tir tendu, avec n’importe quelle réplique, vous devez avoir un tir direct (sinon vous utilisez nu Nerf et vous n’êtes pas sur le bon blog). A cette distance et en respectant les règles de puissance en vigueur, vous pouvez toucher n’importe quelle partie du corps sans problème. Concernant les tirs à la tête, je reste sur mes positions. La surface du corps est 5 fois supérieur à celle de la tête, il n’y a donc aucune raison de la prendre pour cible.

Encore une fois, je vous préconise de doubler vos tirs. “Bim – Bim” .. ça bouge encore : “Bim – Bim”. L’avantage de la doublette ici est double :

  • stopper l’adversaire dans son élan (comme précisé avant)
  • recadrer immédiatement la position de votre canon afin de corriger la trajectoire de votre second tir en temps réel. Le premier shoot est trop à droite, dès le deuxième coup je peux corriger. Si ça rate, la seconde doublette vous permettra de nouveau de corriger votre tir.


A 50 mètres

Je ne sais pas pour vous, mais moi avec mon matos à 50 mètres, ça devient compliqué. Pour beaucoup d’entre-nous le tir tendu se transforme en tir en cloche (ou tir plongeant).

Si vous êtes dans mon cas, posez-vous déjà la question de savoir si il est nécessaire d’engager ?

  • Si l’adversaire se déplace rapidement, bonne chance.
  • Si l’adversaire est à couvert, ça va être difficile.
  • Si l’adversaire ne vous a pas repéré, peut-être vaut-il mieux temporiser et attendre d’avoir une fenêtre de tir plus favorable.

Si vous engagez l’adversaire à 50 mètres, la technique de la doublette rapprochée va vous être très utile. Comme expliqué précédemment vous allez corriger en temps réel votre tir afin de compenser l’effet plongeant.


Et au delà de 50 mètres..?

 

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